Ce petit souffle marin qui vous remplit les poumons. Ce bruit hypnotique des vagues qui caressent le sable en un inlassable va-et-vient. Ce paysage comme un portail vers un autre monde. .
Ce jour là, il n’y avait presque pas un chat. Aucun autre murmure que celui de la mer et de quelques oiseaux la survolant paresseusement. Dans ces cas là, je pourrais rester des heures, les pieds enfouis dans le sable chaud, à juste profiter du spectacle.