Un nouvel article spécial jeux vidéo pour parler d’une Série de Jeux que j’ai adorée : la Saga « Dragon Age » !
Cette série comporte actuellement trois jeux de base : Dragon Age Origins (dit DAO), Dragon Age II (DA2), et Dragon Age Inquisition (DAi). Je vais parler un peu de la saga entière, un peu de chaque jeu, et principalement dans la mesure de mes souvenirs car hélas, je n’avais pas joué depuis longtemps (j’ai « un peu » tardé à faire l’article xD), du coup, je commence à oublier des trucs (mais je me remets à DAI là ^^). x)
En guise d’illustrations pour cet article, je mets des fanarts que j’ai fait autour de DA2 et un de DAI. Un mot rapide sur ceux-ci avant d’entrer dans le vif du sujet : ceux de DA2 ont été faits ce printemps. Je devais les reprendre pour en corriger les moultes erreurs, mais je n’ai jamais pris le temps de le faire, alors ils vont rester en l’état.
J’ai dessiné les romances de DA2 que j’ai bien aimées : des romances dites « amicales » avec Fenris, Isabela, et Anders, et une romance dite « rivale » avec Anders.
Kesako tout ça ? Je vous en parlerais un peu plus bas, dans la partie consacrée à DA2.
Concernant celui de DAI, il s’agit de la romance avec Dorian, car j’ai trouvé ce personnage très touchant au fur et à mesure que je le découvrais, même si ce n’est pas pour autant ma romance préférée (je serais bien en peine d’en choisir une…) Mais c’est le seul brouillon ‘potable’ que j’avais fait sur Inquisition donc voilà, je l’ai fini pour voir, et comme il est fait, je le mettrai en fin d’article.
Et pourquoi pas des fanarts autour des autres jeux/romance Dragon Age ? Parce que je n’ai jamais achevé un seul brouillon pour les autres, n’étant jamais satisfaite de mes gribouilles, malgré de nombreuses tentatives. Je ne désespère pas de rattraper ça un jour, mais ce n’est pas le sujet du jour (enfin pas tout à fait).
Je n’ai pas réussi à faire court ( en réalité j’ai même encore écrit des « pavés » de texte..), pourtant j’avais essayé ! Donc bref, du coup, pour que ce soit plus lisible, je vais rendre les titres de parties « cliquables » afin que le texte se déroule à la demande, et qu’il soit caché en temps normal, ce sera plus léger à la visualisation (en revanche, attention : cela nécessite javascript, donc autant ça ne marchera pas chez tout le monde). ^^’
J’ai commencé par DAI puisqu’il me l’avait offert. J’ai fait 2 parties en fouillant les moindres recoins que je pouvais trouver, et je me suis dis que, franchement, c’était chouette comme jeu. Me fiant à la qualité plus que correcte de cet opus, j’ai suivi le conseil du frangin, j’ai pris le premier, et… il avait raison, j’ai adoré, plus encore que DAI, du coup dans la foulée, j’ai pris le 2, et quelques extensions. Voilà ! J’étais foutue, j’avais plongé dans cet univers ! ^^
Si Dragon Age n’a pas réussi à déloger Mass Effect sur le podium de mon coeur, il n’en demeure pas moins plutôt très bien placé…
Ensuite, ils comportent une dimension de « choix/conséquences », conséquences qui se poursuivent d’un opus à l’autre (comme dans ME ^^), – ainsi qu’un système de gestion des affinités avec les personnages qui vous accompagnent – et ça c’est juste gé-ni-al ! Oui, la plupart de vos choix sont suivis d’effet même dans les opus suivants (c’est plus ou moins visible, et y’a quelques loupés/pirouettes, mais l’effort est clairement là, et c’est savoureux). Vous pouvez faire des parties différentes les unes des autres sur des points parfois clé, ce qui augmente grandement la durée de vie d’un jeu.
D’ailleurs en parlant de ça, la durée de vie des Dragon Age est en moyenne très bonne. Vous allez passer des jours entiers sur ces jeux, je dirais, en fonction du perfectionnisme du joueur et en moyenne, environ 80h pour DAO (sans dlc), 60h pour DA2, et bien 100h pour DAI sur une partie un minimum poussée.
L’univers de Dragon Age est assez vaste. Il regorge de personnages à rencontrer, dont certains ont un background poussé et une identité très consistante, on peut trouver diverses factions plus ou moins présentes/travaillées, il y a des quêtes secondaires en tous genres un peu partout, le tout est saupoudré de scénario qui passe crème, et j’avoue que j’adore quand un jeu est relativement creusé, cohérent, et crédible.
J’ai franchement passé de supers moments devant les Trois opus. De mémoire, mon petit coeur s’était plus emballé pour le tout premier que pour les autres, sachant tout de même que lorsque j’ai refais DAI avec mon propre historique, j’ai été plus investie que la première fois. bref. Ils valent tous le coup, chacun à leur façon.
Histoire : Votre personnage va presque immédiatement être plongé dans l’action ! Ce sera plus flagrant en fonction de votre départ (on va y revenir), mais vous n’aurez vraiment pas hyper longtemps à attendre avant d’accrocher. Outre l’univers qui est plaisant et l’immersion rapide, le scénario du jeu va vous emporter avec lui et vous forcer à devenir une légende plus ou moins exemplaire (certains choix m’ont juste atterrée.. y’a moyen d’être un véritable enfo*** dans le jeu, un peu comme dans ME).
Dans les grandes lignes, au coeur des ombres, dans les « Tréfonds », vivent des créatures corrompues : les « Engeances ». Celles-ci cherchent les âmes des Anciens Dieux, et lorsqu’elle les trouvent, les changent en « Archidémon ». Celui-ci prend alors la tête des armées d’Engeances, et les guide jusqu’à la Surface où elles déferlent dans les contrées, massacrant tout sur leur passage. C’est ce que l’on nomme un Enclin. Seuls les « Gardes des Ombres », une faction aux rituels maintenus secrets, sont en mesure de détruire un Archidémon, et mettre un terme à un Enclin en cours. Le royaume de Thédas, à ce jour, a connu plusieurs Enclins, mais le temps a passé, et le monde a commencé à oublier quelque peu cette menace. Vous-même êtes loin de vous douter que celle-ci pourrait bien refaire surface… et vous propulser en première ligne. Une fois de plus, c’est donc non moins que le sort du monde, en tout cas du vôtre, qui est entre vos mains, et il y a, comme qui dirait, du pain sur la planche.
En dépit de quelques longueurs sur certains passages (genre pour la quête majeure chez les Nains je trouve…), vous devriez être tenus en haleine jusqu’à avoir franchi tous les obstacles qui auront tenté de vous barrer la route vers la Victoire.
N’oublions pas que chacun de vos choix peut ( vous ne saurez pas lesquels la première fois) avoir son importance, que ce soit parce que vous avez fait une action spécifique, ou que vous l’avez faite avant une autre, ou parce que vos propos ont pu n’être pas adéquats, etc. C’est vraiment l’une des principales richesses de ce jeu qui vous permettra d’obtenir des développements et dénouements différents en fonction de votre parcours.
Graphismes : C’est probablement le point qui peut choquer au début. Il faut dire que j’y ai joué bien plus tard qu’en 2009, les graphismes avaient tous bien évolués, et j’étais habituée à autre chose donc… Clairement il m’a fallu quelques minutes pour passer outre. Mais une fois dans le jeu, en fait, on s’y fait très vite. Le style est pas mal, relativement fluide, globalement cohérent. Bon, les expressions sur les visages quand un personnage parle sont passables.. mais les voix rattrapent ça pour leur grande majorité. Les ‘cinématiques’ sont compréhensibles et plutôt bien présentées même si les graphismes ont, comme dit plus haut, pris un coup de vieux. Les effets de sortilèges sont assez sympas, et l’ambiance des couleurs et des décors me semble bien rendue pour un univers médiéval-fantastique. Au final, ça surprend si on est habitués aux jeux très récents, mais ça passe crème une fois dedans, et quoi qu’il en soit, le jeu vaut le coup ^^
Départs & Choix d’un personnage : Vous avez là une autre des grandes richesses de ce jeu. Vous avez pas moins de 6 départs très différents possibles, chacun vous donnant des informations précises, et donc un point de vue plus complet sur certains évènements, ce qui pourrait bien changer, parfois radicalement, votre vision de certains pans de l’histoire à venir. Je conseille vivement de faire une partie au moins complètement, puis, pour avoir une vision globale du jeu, rien de mieux que faire un départ de chaque 😉
Vous pouvez choisir d’incarner un être masculin ou féminin, ce qui n’aura aucune incidence sur vos caractéristiques, mais aura son importance pour certains éléments de scénarios. Ensuite, vous allez pouvoir choisir une espèce, chacune ayant des caractéristiques de base qui lui sont propres : Humain, Nain, ou Elfe. Arrive ensuite le choix d’une classe de combat : Mage, Guerrier, Voleur. A savoir qu’un Nain n’aura pas la possibilité d’être Mage, et que le Mage, qu’il soit humain ou elfe, aura le même départ – petite spécificité qui prend tout son sens très rapidement dans le jeu. Pour les nains, et les elfes qui ne sont pas mages, il sera également possible de choisir sa classe sociale : Noble ou Paria pour le Nain, et Citadin (et donc esclave ou pas loin s’en faut) ou Dalatien (libre, mais en « exil » permanent) pour l’Elfe. L’Humain sera nécessairement un noble s’il n’est pas Mage. Si je me souviens bien, pour les départs de nains nobles et elfes citadins, le genre aura également une légère influence… N’hésitez pas donc pas à tester toutes les combinaisons possibles !
Il est également possible de « personnaliser » son héros via l’apparence, le nom, l’orientation de l’avatar… A noter qu’à la création du personnage, vous pourrez lui choisir une voix, mais celle-ci ne sera utilisée que pour du « bruitage » et non du vrai doublage : sorti de quelques phrases automatiques et des cris lors de lancements d’attaques, vous n’entendrez jamais votre personnage. Votre texte ne sera toujours que écrit. Ce n’est absolument pas un problème, mais cela peut créer une légère déception quand on s’en rend compte ^^.
Sons, Musiques, et Voix : Commençons par rester sur les voix. Pour un doublage Français de jeux vidéos, la qualité des voix et des intonations dans le jeu est d’une façon générale excellente, un réel effort a été fait là dessus, et d’ailleurs les voix ont été, globalement, bien choisies selon moi. J’ai personnellement pris plaisir à jouer en Français (ça tombe bien vu que je n’ai pas pu basculer en anglais).
Côté ambiance sonore, outre les bruitages, vous pouvez en apprendre parfois un peu plus sur l’univers, l’histoire, ou simplement la vie du quidam en prêtant l’oreille. En effet certains personnages en « background » discutent entre eux, de même que certains de vos compagnons, de temps à autres, lorsqu’ils vous accompagnent (avec régulièrement, du trolling xD). Cela donne de la consistance à l’univers et contribue à vous maintenir dans l’ambiance. Niveau musique, l’ensemble est de bonne qualité, avec certaines pistes que j’ai trouvé magnifiques. Globalement, toutes servent leur propos. Entre l’ambiance musicale et celle sonore, si vous êtes aussi réceptifs que je l’ai été, vous resterez immergé(e) dans le jeu du début à la fin.
Gameplay/Jouabilité : Plusieurs points entrent en ligne de compte. Un mot sur la difficulté avant d’aborder les maps & le reste. De « Facile » à « Cauchemar », vous avez diverses possibilités de niveau de difficulté, et si vous aimez les challenges, je trouve qu’il y aura de quoi vous mettre à l’épreuve. Perso, je suis ‘petite joueuse’, j’ai opté pour « Facile » et « Normal » la plupart du temps (ce qui ne m’a pas empêché de mourir 1 ou 2 fois avant le boss final – finalement lui ça va xD) :p
Ensuite.. Par où commencer ? Hm.. j’ai trouvé l’idée des déplacements sur la map générale fun. On est assez loin du chargement de zone instantané, mais loin de celui qui prend dix plombes, et loin également d’avoir à se farcir toute la route In Game. Ces déplacements sur cette carte peuvent donner lieu à des rencontres aléatoires, plus ou moins directement liées à vos précédents choix, ou à l’histoire. Pour les déplacements de jeu en lui-même, sur PC, cela se fait assez bien, avec quelques zones (peu nombreuses) où c’est « digeste » mais un peu longuet. Dans tous les cas, on s’y fait, bien que pour un habitué de la première personne et du combo clavier/souris usuel, ça peut manquer un peu. Perso, ça m’a rappelé un peu Baldur’s Gate, donc je n’ai pas eu trop de soucis avec ça. On notera que les maps peuvent parfois être grandement limitées ou avoir des murs invisibles, mais elles sont en moyenne assez jolies dans leur style et homogènes.
Concernant la gestion des talents & compétences (dont certaines sont vraiment chouettes, notamment pour le mage), c’est très intuitif : elle passe par des lignes d’options, et vous pourrez en débloquer un bon paquet au fil de l’aventure. Il faudra penser à optimiser ses personnages de façon équilibrée, et notamment : toujours garder un voleur compétent à portée de main (et si ce n’est pas votre personnage, Léliana me semble plus efficace que Zévran). Pourquoi bien optimiser tous ses personnages ? Parce que vous pouvez tous les diriger du moment qu’ils sont dans votre groupe ! Vous pouvez les laisser faire, mais également maîtriser l’ensemble des compétences de votre groupe et donner des ordres à tout le monde (en groupe ou séparément) – surtout si vous ne leur faites pas confiance (à raison le plus souvent xD) pour éviter tout risque de tir allié pour les compétences de zones. C’est donc très pratique. En revanche, cela vous obligera probablement à mettre en « pause » le jeu de façon régulière en combat, ce qui *peut* casser le rythme. Dans mon cas, j’ai apprécié la possibilité d’un aspect « j’ai le temps de la jouer stratégique » ^^
Au niveau de l’inventaire, je l’ai trouvé un chouilla « lourd » visuellement, mais en même temps bien organisé, avec possibilité de filtrer par types d’objets, et assez spacieux pour pas enrager toutes les dix minutes comme quoi on n’a plus de place (surtout si comme moi, vous ramassez tout ce qui traîne, même si ça ne sert à rien – à part à gagner quelques pièces ^^). D’ailleurs, la technique de blinder l’inventaire pour revendre tout l’inutile marche plutôt très bien dans ce jeu. On croise assez régulièrement des marchands (y’en a un dans le camp !^^), et il est possible d’avoir amassé un petit pactole en fin de jeu.
Vous pourrez équiper votre personnage ainsi que ceux qui rejoindront votre groupe en armes & armures (avec aperçu du rendu et tout), et, bonne idée au départ : leur équiper 2 sets d’armes afin qu’ils puissent choisir entre attaque à distance ou au cors à corps. Dommage que parfois, vos amis décident de changer tous seuls de set histoire de faire le moins de dégâts possibles (« Léli, mon chou, je t’aime bien mais tu fais n’importe quoi »), surtout quand vous les avez équipés pour gagner de la place dans l’inventaire et qu’ils portent un pauvre poignard xD
J’ajoute que les menus sont clairs, et facilement accessibles. Bref, le tout est globalement très intuitif et c’est agréable à jouer.
Dans le même domaine, vous pourrez également très régulièrement choisir la composition de votre groupe (pratique pour jouer sur l’approbation ou tester les combinaisons de persos pour écouter leurs conversations.). Le maximum de personnages pouvant vous accompagner est de 3, et il est possible d’être seul, mais ça perd un peu de son intérêt, tant niveau combat qu’au niveau des petites répliques que ceux-ci s’échangent de temps en temps pendant vos déplacements. A quoi bon voyager accompagné seulement en théorie, hein ?
Compagnons : Car oui, bien sûr, dans cette épopée, vous ne serez naturellement pas seul(e). Vous aurez la possibilité d’obtenir 8 compagnons ( 9 avec Shale de l’extension « Prisonnier de la Pierre » que j’ai fini par prendre) : un mabari (=chien de guerre), Alistair, Léliana, Morrigan, Zévran, Wynne, Oghren, et Sten. (Je ne parle pas de ceux qui peuvent vous rejoindre uniquement pour une quête très spécifique ou du compagnon mystère qui peut éventuellement remplacer l’un de vos amis sur la fin). Si certains ont un recrutement « obligatoire » , vous pourriez bien louper les autres en fonction de vos actions, alors restez « aware » ^^.
Chaque compagnon a son propre historique, ses goûts, ses valeurs. Leurs personnalités sont consistantes et crédibles, et il y en a un peu pour tous les goûts. À ceci, on ajoutera un système d’Approbation qui, en fonction de vos actions & paroles, vous fera apprécié ou détesté de vos compagnons. Vous pouvez (ou non) jouer sur celle-ci en leur offrant des cadeaux spécifiques récoltés/achetés (souvent par hasard) au cours de vos péripéties, ou en leur parlant de façon adaptée. Passé un certain cap, votre compagnon aura des choses à vous dire lorsque vous irez lui parler, afin d’échanger avec vous, ou de remettre les choses au clair… Et petit à petit, vous pourriez bien perdre la compagnie d’une personne, ou au contraire, vous en rapprocher plus que de raison. Libre à vous au cours de vos avancées de nouer des liens d’Amitiés (ou des inimitiés) voire pourquoi pas, une romance.
Romance : Plusieurs personnages sont ouverts à la romance : Alistair, Morrigan, Léliana, et Zévran. Les deux premiers sont hétéros, et les deux autres sont bi. Dans tous les cas, votre romance sera exclusive, et il faudra quitter votre premier compagnon (moyennant une baisse parfois importante d’approbation) pour finalement vous diriger vers un autre.
Chaque personnage est attachant à sa façon, il faut parfois creuser un peu, ou ne pas se décourager, et chaque romance a ses attraits. Malgré le cliché, je reconnais avoir craqué plus souvent pour Alistair que pour les autres, mais vraiment, ils sont tous chouettes (juste que ce mignon coeur tendre a les dialogues les plus marrants).
Concernant la gestion de la Romance, elle ne pourra débuter qu’avec un certain seuil d’approbation atteint. En revanche à partir de là, attention à ce que vous pouvez dire à l’un ou à l’autre : une initiation de romance peut rapidement s’amorcer si vous flirtez, même de façon innocente, ou si vous êtes « trop gentil ». Vous pourrez vous en rendre compte par le statut de l’approbation du compagnon qui passera en « intéressé ». Prenez donc garde une fois votre dévolu jeté sur l’un d’entre eux de ne pas lancer sans le vouloir un triangle amoureux qui ne saurait aller bien loin..
Extensions : Il en existe plusieurs, dont « Le chant de Léliana » (qui concerne le passé de Léliana) ou « Chasse aux Sorcières » (un épilogue concernant Morrigan) que je me tâte encore à prendre un jour parce qu’ils ont le potentiel de valoir le coup, et d’autres plus ou moins (in)intéressants, mais toujours avec le principe des DLCs : au final racheter une deuxième fois le jeu pour quelques heures de fun en plus …
Personnellement, j’ai opté pour « Awakening » (et « Prisonnier de la Pierre » pour rencontrer Shale, sympa sans plus). Sa durée de vie est raisonnable, mais suivant la fin que vous aviez obtenue dans DAO, ça va manquer de cohérence… son principal attrait pour moi est qu’il permet deux choses. 1) Rencontrer Anders, Sigrun, Justice ( cette voix <3 C'est Gilles Morvan non ?<3) et Nathaniel, qui sont des personnages intéressants et attachants (on revoit un compagnon de DAO, mais bon ce n’était pas mon préféré, et y’a aussi Velanna mais elle m’insupporte :p ). 2) C’est notamment intéressant pour comprendre l’un des aspects de DA2, où vous retrouverez quelqu’un qui aura bien changé…
Aspect « Logiciel » : il est à noter que, bien que rares, le jeu n’est pas exempt de bugs. Il faut donc penser à sauvegarder régulièrement, et à garder 1 ou 2 sauvegardes plus anciennes sous le coude, au cas où.
Pour ma part, assez peu de petits bugs généralement vite résolus, mais 1 gros qui a traîné : le plus gros bug rencontré a été sur la Map de Dénérim où le moindre chargement pouvait entraîner un CTD. J’ai dû ré-installer le jeu complètement, puis prier, et puis finalement un jour ça a fini par marcher (non sans m’avoir fait perdre des heures de jeu xD). C’est vraiment pénible, mais ça n’a pas entaché mon enthousiasme pour le jeu, c’est donc dire la qualité de celui-ci à côté de ça hein ! ^^
Voilà, je crois que j’ai à peu près fait le tour… Dur dur de résumer pareil chef d’oeuvre en quelques paragraphes ! Du coup, c’est une fois de plus trop long, désolée ! On va essayer de faire mieux par la suite, mais je ne garantis rien ^^
Il est vrai qu’il est radicalement différent du premier. Les graphismes, une partie du gameplay, l’histoire qui se situe en quelque sorte « à-côté » du scénario et de la problématique de base, angle de vue, etc… Clairement Dragon Age 2 n’est PAS Dragon Age Origins, et de prime abord, on peut avoir du mal à voir le lien. Et pourtant, c’est quand même un jeu très chouette et bien dans l’Univers Dragon Age ! Il faut le prendre pour ce qu’il est, davantage que comme la suite en droite lignée de DAO.
Et ce qu’il est à mon sens, c’est un jeu vidéo sympathique en annexe de la première histoire, et qui sert de lien entre deux opus. Car son rôle est à mon avis de faire une transition depuis DAO jusqu’à la suite dans DAI, dont il pose des bases, principalement à condition d’avoir le DLC « l’héritage ». Au passage, on a le droit de s’indigner du fait que cette extension ne soit pas dans le jeu de base vues les quelques explications qu’elle donne pour la suite. Sérieux Bioware, on vous aime, mais vos DLCs, c’est abusé. Bref.
DA2 reprend quelques points/personnages de DAO/DAO-A vous permettant d’avoir une vague idée de ce qu’ils deviennent (les indications sur vos choix passés sont peu nombreuses, et les caméos sont courts, mais c’est présent), et introduit Varric le conteur, Cassandra Pentaghast la chercheuse de vérité, et Hawke, votre Héros. Ses rôles auront leur ‘petite importance’ dans l’histoire de DAI.
Pour bénéficier de votre propre historique, il est possible de prendre en compte, à la création d’une nouvelle partie, une sauvegarde de DAO ou DAO-A. Pensez bien à sélectionner la toute dernière sauvegarde faite avec votre héro de Férelden AVANT de lancer la partie DA2 😉
Départ/Choix du personnage : Le départ est beaucoup plus limité que dans DAO : Homme ou Femme, Mage Guerrier ou Voleur. Point. Votre personnage, Hawke, sera quoi qu’il advienne un humain, et aura le même départ et la même histoire globale. Néanmoins, le choix de votre classe aura son impact dans les 5 premières minutes du jeu, et certaines de vos actions auront également un impact, plus ou moins grands, plus ou moins direct… Pour en finir vite fait avec la création de votre personnage, vous pourrez personnaliser son nom et son apparence, et roulez jeunesse.
A mon sens, le jeu a clairement été pensé pour que vous soyez un Apostat (jouer avec, c’est juste le mode facile quoi xD), mais jouer Voleur est également très agréable (à titre totalement subjectif, je n’ai pas aimé jouer Guerrier, notamment à cause des compétences dispo, mais ça c’est dans tous les DA). Attention donc à ne pas commencer par une partie en Mage si vous comptez en faire plusieurs, car c’est difficile de changer de classe la partie d’après autrement. Personnellement après mon voleur (et mon guerrier – partie que je n’ai pas finie), j’ai testé mage, et je n’ai plus pu m’en passer ( et je ne suis pas la seule de mon entourage dans ce cas 😉 ).
Histoire : La famille de votre héros vivait à Lothering, ville réduite en poussière par les engeances lors de l’enclin. Vous avez donc fui la Guerre et cette vague de Mort tous ensemble, et vous cherchez où aller pour démarrer une nouvelle vie. Le destin vous poussera à tenter votre chance à Kirkwall, une ville aux allures assez sombre où couve un conflit entre mages et templiers. Conflit dans lequel vous pourriez bien vous retrouver pris à parti…
Vous allez donc suivre le destin de Hawke sur plusieurs années, et vous efforcer de l’aider à se faire une place dans cette ville qui n’attendait rien de lui/elle.
Cette histoire débute comme étant un « à côté » de DAO, et devient une « suite » annexe. Quelques caméos (parfois cachés dans une mission ou un dlc), des rumeurs ou allusions dans quelques dialogues, mais de prime abord : pas de réel gros lien entre DAO et DA2, outre l’Univers et le Monde commun. Et pourtant. Comme dit plus haut, DA2 pose les bases petit à petit pour l’opus suivant : DAI. L’histoire de Hawke (ou son témoignage via Varric), ce sera la ‘préquel(le)’ d’une guerre qui va secouer Thédas, et elle prendra appui sur l’héritage légué par le Héros de Férelden de DAO.
Au niveau du système de choix/conséquences, ma foi…. Quelques menus choix viendront apporter de petites différences à l’histoire, mais rien d’incroyable au sein de cet opus. Le système n’est pas aussi « poussé » que pour DAO. Pourquoi ? À mon avis parce que logiquement, l’histoire qui fait « tampon » entre DAO et DAI doit rester globalement très très similaire. Alors oui, vous ne personnaliserez pas énormément votre dénouement, mais quand même, vous allez avoir des choix pas toujours évidents à faire. Notons que vous ignorez ce que cela changera dans DAI, et rien ne vous empêche de savourer l’histoire qui reste globalement dynamique et intéressante.
Car oui, l’histoire est agréable à découvrir, et la façon dont elle est contée, si ça fait bizarre au début, est plutôt cool. Après, j’adore Varric, alors je ne garantie pas d’être objective sur ce point ^^.
Graphismes : Le style a changé assez radicalement. Design des personnages, maps & co, même l’animation : tout est différent, et certains ont trouvé qu’il était plus « raide » en terme de textures & lignes. Pour ma part, ce n’est toujours pas parfait, mais ça ne m’a pas choquée, c’est juste différent. Ça change, oui, mais pour autant, le tout reste de qualité plus que correcte et le jeu reste visuellement agréable. D’ailleurs, je trouve DA2 globalement un peu plus « abouti » en terme d’animations et rendu de personnages.
En fait, je n’ai qu’un bémol à indiquer, pour deux ‘pitits-points’ que j’ai notés et sur lesquels j’ai fait une fixette… La modélisation des MAINS des personnages (bon, globalement, on peut pas dire que Bioware soit champion dans le domaine… ou alors ils sont hyper fan de knackis dans la team, qui peut savoir, hein.) mais les mains sont juste moches, et : l’arrière train de Hawke quand on joue une femme. L’animation est faite de telle sorte que ça dandine beaucoup trop et j’ai mal pour sa colonne vertébrale à chaque pas… Bon, ça dandine aussi légèrement chez monsieur, mais pas autant. C’est tout bête, mais je me suis demandée qui avait bien pu avoir cette idée étrange… Bref. Visuellement au final, ça passe quand même bien : outre ces détails, rien de particulier à signaler.
Gameplay : Qu’il s’agisse de la Map globale, des maps de zone, etc… pratiquement tout a été revu et corrigé, pour le meilleur ou pour le pire : il y a de bonnes trouvailles, et des modifications qu’on pourra juger regrettables. En tout cas, Bioware a fait un effort pour repenser et actualiser le tout, bien que l’on reste sur des maps très fermées. Je n’ai rien noté de particulièrement gênant en terme de gameplay, mise à part peut-être certains chargements que je trouve un poil longuet par moment. Il faut juste apprivoiser les changements par rapport à DAO, rien de plus, et donc rien d’insurmontable.
D’ailleurs, on dit coucou au combo clavier/souris directionnel de mon coeur. Clairement c’est plus agréable de se balader avec le clavier que sous DAO. Il faut dire que le point de vue du joueur s’y prête désormais mieux, bien sûr c’est au détriment de l’effet B’sG mais il faut savoir ce que l’on veut. Les cartes restes petites et l’avancée fait très « couloir » (façon FFX), mais c’est suffisant pour donner un peu de consistant aux lieux. Il existe toujours la possibilité de ramasser quelques ingrédients sur les maps, ceci dans le but de créer vos propres potions et runes. C’est intéressant mais personnellement je ne me suis jamais trop servie de cette option.
On a divers niveau de difficulté de nouveau, de « Facile » à « Cauchemar ». Pour ma part, j’aime jouer de façon axée sur l’histoire, donc le mode Normal m’allait très bien, limitant les défis. J’ai eu un peu de mal sur 3 ou 4 passages seulement. Comme dans DAO, la plupart du temps, il suffit simplement de comprendre la technique à adopter, et ça va tout seul ^^
Le système de combat, la possibilité de gérer la composition d’équipe ou les compétences de tout le monde, ça, ça reste majoritairement la même chose qu’auparavant. Les compétences ne sont plus en simples lignes, mais en arborescence, et se débloquent de la même façon qu’auparavant, et vous montez vos stats point par point à mesure que vous gagnez des niveaux.
Niveau inventaire, on retrouve la possibilité de l’agrandir via l’achat de « sacs », la présence des « filtres » pour visualiser les items par catégorie (c’est d’ailleurs obligatoirement présenté comme ça de mémoire), et une taille convenable (il faut peut être juste un peu moins ramasser tout ce qui traîne, et encore :p). Un effort a été fait pour l’alléger et le rendre plus graphique (je suis pas fan, mais ça ne m’a pas gênée outre mesure). En revanche, il y a quelques changements : vous ne pourrez plus choisir l’armure de vos compagnons, vous ne pourrez que l’améliorer en trouvant ou achetant des améliorations (ouvrez l’oeil, une seule possibilité de les obtenir à chaque fois), et modifier son armement (1 seul set d’arme) & ses ‘goodies’. Les items inutiles, destinés à la vente ou à la destruction auront leur catégorie symbolisée par une poubelle.
Le système de cadeau existe encore, mais ceux-ci seront à découvrir par hasard dans un contenant à un moment précis, dans un endroit précis, ou à acheter chez un marchand spécifique, à un moment spécifique (1 par compagnon et par « Acte » si je me souviens bien). A moins de n’être du genre à faire le tour complet à chaque fois, une soluce pourrait s’avérer utile. Il faudra les trouver pour débloquer un petit dialogue qui vous fera gagner des points d’Amitié ou de Rivalité, qui sont de l’Approbation un peu à la manière de DAO. A ceci près qu’ici, pas de départ de compagnon (du moins pas à n’importe quel moment, et pas à cause d’une rivalité). Vous pouvez cordialement vous détestez, cela n’empêche ni de garder le compagnon avec soi, ni une éventuelle romance (on y reviendra).
Bref, on se fait plutôt très vite au gameplay, et le jeu reste facile et plaisant à utiliser.
Sons&Musiques : Commençons par les voix. Vous ne pourrez pas choisir la voix de Hawke sorti de son genre. La voix de Hawke Homme en Fr est sympa, je suis un peu moins fan de celle de Hawke Femme, mais je n’ai rien à reprocher à leur doublage et c’est plutôt heureux car vous entendrez votre personnage parler lors de tous les dialogues. Dialogues qui changent par rapport à DAO : vous n’aurez plus un aperçu total de votre réplique, vous aurez des « options » symbolisées par des logos en couleur ou des flèches. Bleu pour une réponse diplomatique ou gentille, Violet pour être espiègle ou détaché, Rouge pour être relativement dur ou déterminé. Les possibilités de flirt sont clairement indiquées par un logo en forme de coeur. Le système n’est pas mal fait, au contraire, mais ça va manquer un peu de « spontanéité » et parfois, vos réponses pourront vous surprendre vous-même (un peu à la façon de certaines conversations de Mass Effect).
Concernant les autres voix, une fois encore, un certain soin a été accordé à la qualité du doublage et au choix des voix. Je n’ai pas noté de soucis majeur à ce niveau là et vraiment, j’apprécie. J’aurais même tendance à mettre une mention spéciale à Isabela et Varric car je trouve que la voix colle juste parfaitement au personnage. En termes de son et ambiance, ici aussi, des dialogues de fond entre background ou compagnons poindront régulièrement, donnant un peu crédit à l’univers. Les bruitages ne sont pas envahissants, et sont adaptés. Les musiques servent leur propos et ont une cohérence globale. Il y a 2 ou 3 pistes que je n’ai pas aimées, mais l’ensemble reste d’assez bonne qualité.
Compagnons : vous en aurez 7 possibles (8 avec Sébastian si vous avez l’extension « Le Prince Exilé », sachant qu’il existe aussi Tallis si vous avez l’extension « La Marque de l’Assassin » mais elle ne compte pas vraiment comme un compagnon standard car vous ne l’aurez que pour la durée du DLC et de façon obligatoire). Voici donc les 7 de base : Carver OU Bethanie (cela dépend de votre classe), Aveline, Varric, Anders, Isabela, Merrill, et Fenris.
Les personnalités sont variées et plutôt consistantes. Le fait de développer les affinités, dans un sens ou dans l’autre, avec un personnage, vous vaudra de faire pencher la balance de leur dernière compétence dans une optique différente. Cela peut également avoir une influence sur le comportement à venir de votre compagnon. Je pense qu’on peut s’attacher à la plupart d’entre eux. Et je dis « la plupart » car de mon côté, j’ai beaucoup de mal avec Carver et Sebastian que je trouve insupportablement puants.
J’ai déjà parlé de l’approbation plus haut, j’y ajoute un détail : mieux vaut clairement plonger dans l’Amitié ou la Rivalité que rester dans un ‘entre-deux’ car cela a un impact en fin de jeux suivant votre choix… Sorti des cadeaux & dialogues, vos actions auront un impact sur l’approbation des compagnons présents dans votre groupe au moment de votre décision, donc rien de tel qu’avoir le personnage dans son groupe régulièrement pour faire varier son approbation, et il faut penser à n’oublier personne ! Ça va éventuellement demander un poil de « stratégie », pas toujours évidente surtout lors de la première partie, pour savoir, en fonction de la quête en cours et des valeurs des compagnons, qui prendre à quel moment. Pas de stress à avoir, car à vrai dire, la première fois, je ne me suis pas posée la question, j’ai fait n’importe quoi (enfin, selon mes valeurs & affinités à moi quoi), et tout s’est très bien passé.
Romances : il n’y en a à nouveau que 4 possibles de base : Anders, Isabela, Fenris et Merrill. Dans cet opus, tous n’ont que faire de votre genre, vous serez donc libre de romancer celui de votre choix si vous le souhaitez, que vous soyez un homme ou une femme. Une rivalité n’empêche en rien une romance, et c’est assez sympa de voir la différence entre une romance amicale et une romance rivale avec un même compagnon. J’ai une large préférence pour les romances amicales avec les non mages, et rivales avec les mages (Merrill / Anders).
Notons que le personnage de DLC Sébastian, lui, est hétéro, et ne pourra romancer qu’une femme (mais en ce qui me concerne, pas moyen que je romance cette fate girouette xD).
Petit spoil partiel marrant : En fonction de votre romance, ou absence de romance, et de votre historique DAO, vous pourrez recroiser Zévran et avoir éventuellement une aventure avec lui.
Extensions : Le point sera rapide et uniquement sur celles que je connais pour y avoir joué. Pour moi, il aurait dû y avoir de base l’extension « L’Héritage » inclue dans le jeu. Quand on connaît DAI, on se dit que franchement, là c’est abusé de pas l’avoir mise. Elle me semble presque indispensable pour comprendre un peu mieux une partie de l’intringue de DAI. En dehors de ceci, elle est cool à jouer sans plus.
J’ai pris 2 extensions supplémentaires : la Marque de l’Assassin, qui est sympathique mais pas indispensable, et « Le Prince Exilé », qui ne vaut pas le coup selon moi (sauf pour les fan inconditionnels de Léliana pour profiter d’un caméo qui a lieu dans la quête de Sébastian). Le personnage n’apporte rien à l’histoire, change sans cesse d’avis, et s’avère relativement teigneux en cas de désaccord. Sa seule décision ferme, il la prend éventuellement à la fin du jeu. Pour le coup, je regrette mes sous x).
Voilà, je ne connais pas les autres extensions, mais je ne me souviens pas en avoir vu d’autres qui avaient vraiment l’air de valoir le détour.
En bref, DA2 mérite qu’on lui laisse sa chance : on peut se laisser embarquer et y croire, s’attacher aux personnages, et suivre avec intérêt les évolutions de notre héros, pourvu que l’on prenne cet opus pour un jeu « annexe » et que l’on ne s’attende pas à un « clone » de DAO. Oui, il donne une sensation de « Rupture » avec son prédécesseur, mais c’est vraiment un jeu sympa qui fait le lien entre le premier volet de la saga et celui d’après, même si ce n’est pas de la façon qui aurait pu être attendue. Je vous spoile un point : vous allez notamment croiser Hawke dans DAI, et il faudra faire un choix le concernant. Avoir été Hawke change COMPLÈTEMENT votre vision de ce choix, et vous implique carrément davantage. Pour le coup, c’est du génie façon Bioware, et se priver de découvrir le personnage avant de jouer à DAI, c’est juste dommage. Idem pour DAO. Vraiment, les faire dans l’ordre avec prise en compte de l’historique, c’est hyper chouette !
Bref, j’ai aimé jouer à ce jeu (surtout avec un Hawke espiègle), j’ai adoré le fait d’avoir joué à ce jeu avant mes dernières parties DAI, et je le recommande sans problème, surtout au prix où il est en ce moment (moins de 10€ sur PC).
Et j’ai encore écrit beaucoup trop. 😛
DAI m’apparaît comme une fusion entre DAO et DA2, tout en étant plus similaire au premier opus qu’au second. On n’est plus dans un volet de transition (même si celui-ci annonce clairement une suite suivant les DLCs que vous avez), mais bien dans la continuité de l’Histoire.
Départ/Choix d’un personnage : Vous aurez à nouveau la possibilité de faire un héros soit féminin, soit masculin. Petit bonus, le choix de l’espèce est de retour, avec 4 disponibles : Humain, Nain, Elfe, et Qunari ! L’espèce n’aura véritablement d’influence que sur certaines romances (tout comme le genre) et sur la mission au centre de commandement liée à votre origine (je reparle un peu de ce centre de commandement plus loin). Le classique trio de classe « Guerrier/Voleur/Mage » refera son apparition, avec toujours l’impossibilité pour un nain d’être mage. Votre classe pourra avoir une influence plus tard dans le jeu pour certaines interactions possibles avec le décor (crocheter un contenant pour les voleurs, détruire des murs pour les guerriers, user de magie pour les mages). Généralement, ce que votre personnage ne pourra faire sera faisable avec d’autres membres du groupe s’ils vous accompagnent.
Deux voix différentes vous seront proposées en doublage de votre personnage, qu’il soit un homme ou une femme, et vous pourrez comme toujours personnaliser son apparence ainsi que son Prénom. L’outil de personnalisation a évolué, et y’a pas mal de possibilités agréables bien que tout ne soit pas nécessairement intuitif. Par contre, on notera que niveau « coupe » de cheveux, ça rend pas génial pour certaines. Ces coupes sont d’ailleurs les mêmes pour les hommes et pour les femmes.
Quels que soient vos choix pour votre personnage, le départ de l’histoire sera exactement le même pour tout le monde.
Petit point marrant > lorsque vous cliquez sur « Nouvelle partie », l’image de fond du menu vous annonce d’emblée ce qui vient de se passer, même si vous ne le comprenez pas sur le coup, et au moment de personnaliser votre personnage, vous êtes en quelque sorte déjà dans la cinématique de début … j’ignore si je suis claire xD Jouez-y, vous comprendrez ^^
Histoire : Nous sommes environ 10 ans après DAO, et peu après DA2. Vous étiez en mission au sein du Conclave ayant pour but de trouver une solution pacifique au conflit Mages/Templiers – conflit dont DA2 a annoncé et posé les prémices. Hélas, une explosion de grande envergure dévaste le Conclave… Vous êtes alors comme projeté(e) dans un cauchemar… rêve ou réalité ?? Peu après, lorsque vous ouvrez les yeux, vous êtes constitué(e) prisonnier(e), et vous ne vous souvenez pas de ce qui s’est passé. Seul(e) survivant(e) du cataclysme, vous arborez désormais sur la main gauche une étrange marque de lumière, et au dehors, une immense faille déchire le ciel…
De suspect numéro 1, vous allez rapidement passer à seul Espoir de refermer la faille qui menace votre monde, et vous allez vous retrouver au beau milieu de la Renaissance de l’Inquisition…
Et nous revoilà parti pour sauver l’Univers qui, décidément, aime être en danger ! 😉
J’ai personnellement beaucoup aimé le scénario de ce jeu qui fonctionne plutôt pas mal du tout. Si vous êtes du genre à creuser un peu en termes de quêtes & co, vous allez passer un bon moment sur ce jeu pour en découvrir tous les protagonistes, un peu de leur histoire, etc.
Il y a également possibilité, en fonction de vos choix antérieurs, de profiter de pas mal de petit caméos (visuels ou par ‘rumeurs’) de personnages connus, et c’est clairement sympa ! ^^
Graphisme : Je pense qu’on peut dire que nous entrons là dans la catégorie des jeux qui sont « Beaux ». Cela reste perfectible à bien des égards, mais la modélisation est globalement bien faite, les animations pas mal du tout, les décors sont vraiment chouettes, les cinématiques sont relativement fluides…Même les personnages ont été soignés et le chara design est franchement super (#Cassandra xD). Ils sont d’ailleurs assez bien animés, et se balader dans le jeu, regarder les cutscene & co, c’est un régal ! Le rendu des effets magiques et des attaques est également fort sympathique. Certaines armures & armes sont superbes, mais notons que d’autres parmi les armes uniques et « easter egg » sont tout simplement hilarantes (vous rêviez de combattre avec un camembert et une banane, et une couronne fleurie sur la tête ? Cherchez bien, c’est possible ! si, si.). D’ailleurs, en termes de clin d’oeil fun, il y a quelques petites choses bien sympas que je ne peux que vous encourager à chercher (tomber sur la dépouille d’Iron man en essayant de troller le décor, c’est fun)!
D’une façon générale, les graphismes sont bons et vos yeux auront autant de plaisir à jouer que votre tête !
Gameplay : DAI nous offre pas mal d’options nouvelles dans la saga dont on avait oublié qu’elles nous manquaient tant ! Dites bonjours aux maps ouvertes et relativement vastes à visiter ! Et il faudra les visiter car vous allez avoir besoin des éléments qui y sont récoltables un peu partout (bon ça, ça peut être un poil relou x) ). Bonjour aussi à la possibilité de sauter (enfiiiiin – bien que vous soyez grâcieux/grâcieuse comme une tong quand vous le faites), ou de chevaucher un destrier ! D’ailleurs, en termes de monture, une fois qu’elles sont débloquées, on a rapidement l’embarras du choix, et c’est chouette ! (« Même que moi, je chevauche une ‘licorne’ s’il vous plaît ! » :p ) On reste sur un combo clavier/souris directionnel, bien que légèrement repensé (maintenir le clic droit n’est guère intuitif pour moi), et on a désormais différentes façon d’aborder le mode combat. Bref. Des innovations pour la plupart fort bienvenues.
La plupart. On n’augmente plus ses stats point par point au fil des niveaux, on gagne des points de façon un peu random à quelques rares occasions… c’est tout bête, mais j’aimais bien l’ancien système, et ça me manque.
Pour autant, DAI conserve et combine ce qui faisait la force des opus précédents. Par exemple, vous êtes toujours libres de constituer votre groupe (après le prologue) et de maîtriser tous les talents à dispositions en prenant le contrôle de qui vous voulez, bien que cela soit plus poussé, et donc un peu moins intuitif qu’auparavant. De même, vos choix d’actions et de dialogues conservent un impact plus ou moins grand, en fonction de vos décisions, sur la suite du jeu et vos relations aux personnages. Les menus sont à mon sens bien plus fluides et intuitifs, et la gestion de l’inventaire est agréable, bien que je le trouve assez « petit » dans cet opus. Pour ce qui est des compétences, le système est le même, re-designé et c’est plutôt joli.
C’est pour moi une réussite pour un gameplay très agréable. On notera tout de même que le jeu peut présenter des bugs (de graphisme ou de gameplay et des CTD) et quelques soucis de textures ou décor, donc restez prudents et n’oubliez pas de sauvegarder régulièrement et de conserver des slots clés. Certains temps de chargement sont un peu rasoirs (y’a bien des astuces à lire pour faire patienter mais bon… c’est toujours quand on les lit que ça charge en plein milieu, et au bout d’un moment hein..). D’ailleurs, c’est peut-être lié à ma bécane (encore que j’ai plutôt un bon pc) mais je trouve le temps de chargement au lancement du jeu un peu longuet… Je serais curieuse de savoir si c’est pour tout le monde pareil ou pas..
Enfin, une autre nouveauté que j’ai trouvé plutôt cool fait son apparition : la table de commandement. Ici, vous allez avoir diverses missions possibles qui permettront d’acquérir des ressources, ou des points de réputation, etc.. Vous aurez généralement 2 ou 3 façons de remplir cette mission, selon qui va s’en charger (Cullen pour 1 aspect militaire, Léliana pour l’aspect furtif, et Joséphine pour un aspect diplomatique), et certaines fois, la sélection de solutions aura un impact sur son issue (de façon assez bien pensée, presque réaliste). Soyez donc vigilant et stratège ^^ Les missions sont en temps réel (façon opérations des forces de frappe dans Mass Effect Andromeda) et donc vont monopoliser la personne en charge jusqu’à leur dénouement.. et ça peut être long. Cependant, il existe une astuce qui consisterait à quitter le jeu, modifier l’heure de l’ordinateur, relancer le jeu, et hop magie, la mission est finie. Je ne m’en suis jamais servie, mais si jamais l’aspect temps réel vous rebutait, problème réglé :p Sinon, en mode normal, vous lancez vos missions, vous avancez dans le scénario, et de temps en temps, vous refaites un saut à la table de commandement pour faire le point et relancer autre chose.. Bref, j’ai bien aimé ça !
Dernier point, une fois de plus, nos actes/décisions/paroles peuvent avoir de plus importantes conséquences qu’imaginé, et c’est magique (et parfois frustrant comme avec les Mages/Templiers lol, mais magique).
Sons&Musiques : Niveau musiques, on est sur de la bonne Soundtrack à nouveau. Le thème de DAI renoue avec une texture musicale un peu plus « épique » et « profonde », un peu à la façon des titres de DAO. Chaque piste imprègne un rythme et contribue à peaufiner l’ambiance globale du jeu, et c’est plaisant. J’avoue en avoir trouvé certaines un peu moins agréables que d’autres, ou plus lassantes, mais globalement vraiment rien à redire. Sans avoir eu de véritable coup de coeur pour ce thème, je note quand même que « the dawn will come » reste très sympa sous toutes ses déclinaisons. J’ai tout de même préféré « Journey to Skyhold » car elle est très bien amenée, de sorte qu’on ne sait pas si la musique souligne la cinématique, ou l’inverse.
Niveau sons & bruitages on est toujours dans du bon, et on peut toujours entendre les discussions du tout venant en fond quand on passe près d’eux. Dans certains cas, il y aura un réel intérêt à les écouter entièrement. En termes de doublages, une fois de plus, Bioware se débrouille du nous donner un travail assez soigné, avec des voix expressives, et bien choisies dans leur ensemble pour coller aux personnages. Une ambiance sonore donc travaillée et harmonieuse à laquelle je n’ai rien de particulier à reprocher. J’ai pu basculer le jeu tout en anglais sans soucis, et, si mon niveau limité gêne parfois un poil la compréhension (et ce, même malgré les sous-titres EN), les voix sont encore meilleures et les accents sont top, c’est à tester 😉 Dommage que les VF nous fassent perdre les accents, vraiment.
Compagnons : Dans DAI, vous aurez la possibilité d’obtenir 9 compagnons. Des guerriers avec : Cassandra, Blackwall et Iron Bull, des voleurs avec : Varric, Sera et Cole, et des mages avec : Solas, Dorian, et Vivienne. Tous ont leur propre personnalité et leur background plus ou moins détaillé. Ce sont des personnages une fois de plus crédibles, consistants, et globalement attachants, et leur répartition très équilibrée sera à nouveau un atout dans la composition de votre groupe et dans le choix des compétences utiles à votre héros.
Concernant le niveau d’Approbation… à ce niveau là, je mettrais un petit bémol : l’avantage des deux volets précédents était qu’on pouvait facilement voir où on en était de notre approbation, ce qui n’est pas le cas dans DAI. On sait seulement si une chose a plu, déplu, et dans quelle proportion globale… C’est sûrement plus « réaliste », mais clairement moins pratique étant donné la façon dont le tout est désormais géré.. Le système de « cadeaux » pour tricher un peu sur le niveau d’affection que l’on vous porte est terminé. Il faudra se débrouiller avec les dialogues, les quêtes personnelles, et vos actions qui ne seront plus seulement réduites à un impact sur les personnes « présentes » au moment de votre décision. Certains choix seront en effet pris en compte pour TOUS vos compagnons, et bien sûr, il sera impossible de contenter tout le monde pour ces choix là. Après, cela-a-t-il un impact sur leur façon de vous parler ou autre ? Aucune idée. Je crois avoir réussi à faire en sorte (comment, je sais pas) que tous m’apprécient, donc je n’ai jamais eu le moindre soucis. Si quelqu’un sait ce qui change à ce niveau là, je serais curieuse de le lire 😉
Romances : Vous aurez la possibilité de vous lier à certains personnages mais quelques uns ont des préférences, donc si vous jetez votre dévolu sur l’un d’entre eux, soyez prévenus 😉 .
En romances hétérosexuelles, vous avez le choix entre Cassandra (et oui, pas de romance possible avec elle si vous êtes une femme, dommage), Blackwall, Cullen et Solas. A noter que pour ces deux derniers, l’espèce de votre perso compte : Cullen ne romancera qu’une humaine ou une elfe, alors que Solas ne pourra tomber que sous le charme de l’une des siens. Pour les romances homosexuelles, vous aurez le choix entre Dorian si vous êtes un homme et Sera si vous êtes une femme, peu importe l’espèce. Enfin, Iron Bull et Joséphine se fiche éperdument de votre genre ainsi que de votre espèce. Quoi qu’il advienne, votre romance sera exclusive. Je crois qu’il existe la possibilité de rompre avec certains personnages si vous vous êtes trompé, encore qu’il soit difficile de ne pas le voir venir : contrairement à DAO ici le jeu vous indique clairement que vous allez entamer une relation avec une personne AVANT que vous ne fassiez le choix qui correspond.
Il est possible de « flirter » avec d’autres personnages que ceux cités ci-dessus, mais cela ne donnera pas lieu à une romance. De même vous pouvez flirter avec un personnage qui ne sera pas attiré par vous, vous allez juste vous faire rembarrer 😀 .
Chaque romance est différente, et vous pourriez être surpris, voire déçus (#cliché), au fil de la découverte, mais j’ai personnellement trouvé du positif dans chacune d’elles, et j’aurais du mal à sélectionner une ‘préférée’.
Extensions : Il y en a quelques unes, mais beaucoup de superflues avec des packs d’armes, armures, etc, comme de coutume sur les jeux « récents ». Mais il y en a qui présentent un réel intérêt, et c’est de celles-ci qu’on va parler maintenant.
– La Descente (ou « The descent » en anglais). Cette extension se présente comme une sorte de long donjon où vous descendez toujours plus profondément dans les tréfonds afin de découvrir la raison des mystérieux tremblements de terre qui sèment le chaos chez nos amis nains, perturbant le trafic de Lyrium. Fidèles à leur réputation, les tréfonds ne manquent pas d’engeances, mais pas seulement. Vous pourriez bien y découvrir plus que vous ne l’auriez soupçonné… De nouveaux adversaires, et un niveau de difficulté que j’ai trouvé légèrement supérieur au reste du jeu, vous attendent dans les profondeur de Thédas. C’est une extension à faire quand vous voulez du moment que vous avez un assez bon niveau. Elle offre un mystère de plus dont la réponse ne saurait être qu’entrevue.
– Les Crocs d’Hakkon (ou « The Jaws of Hakkon » en anglais). Celle-ci déverrouille carrément une vaste nouvelle map avec lieux à découvrir, astrariums, quêtes, etc. Bienvenue chez les Alvars pour suivre les dernières traces connues du tout premier Inquisiteur : Améridan. Un DLC fort sympathique avec quelques passages bien fun, et un morceau annexe de l’Histoire à découvrir. On peut le faire à peu près n’importe quand dans le jeu.
– Intrus (ou « the Trespasser » en anglais) est la suite de l’histoire principale. Et je le mets en gras car il est important de le savoir. Une fois ce DLC lancé, vous ne pourrez pas revenir en arrière (donc conservez une sauvegarde d’AVANT lancement du dlc). Fini Skyhold/Fort Céleste et les autres zones du jeu, finies les quêtes en cours, et tutti quanti. Ce DLC se situe deux années après la fin des évènements de DAI. Et c’est un méga cliffhanger.
Il aurait dû être présent de base dans le jeu car il introduit on ne peut plus clairement la suite du jeu (si elle sort un jour), et vous présente sans trop de doutes possibles votre futur ennemi… et même s’il y avait des pistes pour le voir venir, l’identité de celui-ci pourrait éventuellement vous surprendre.
Mais avant d’en arriver là, tout va commencer avec un Conseil, visant à statuer sur le sort de votre Inquisition (qui semble n’avoir plus de raison d’être, et qui a pris bien trop d’envergure…), mais celui-ci va être quelque peu troublé par la découverte d’un cadavre qunari qui n’avait rien à faire là… L’intrigue se déroule au Palais d’Orlaïs et … « ailleurs » 😉
Ce sont là trois extensions de bonne qualité, d’une durée de vie satisfaisante, et avec des éléments de scénarios qui valent le coup. Mais elles restent des DLC dont le principe m’agace un peu et je ne saurais que trop vous conseiller d’attendre les promotions & autres soldes (si cela est possible, pas sûr) pour les acquérir, ou d’opter d’emblée pour le jeu en version « Deluxe » qui, de mémoire, comprend toutes les extensions.
Il existe également une extension pour un mode multijoueur sur DAI. Je ne l’ai testé qu’une seule fois, en solo, et l’intelligence artificielle chargée de m’accompagner est restée bloquée à la première porte donc bon… de toute façon, je ne suis pas franchement portée sur le multi. :p
Au final, un très bon jeu également, qui vous tiendra en haleine un bon moment et vous fera découvrir de vastes zones toutes plus sympas les unes que les autres ^^
Cette saga est clairement intéressante et garantie des jours de bons moments à jouer. S’il ne fallait en garder qu’un, après une longue et douloureuse hésitation, je garderai le premier : Dragon Age Origins. C’est peut-être de mon point de vue le plus poussé niveau scénario & possibilités, mais chaque opus a son charme et contribue à donner vie et solidité à tout l’Univers de Thédas. Il y a vraiment du soin qui a été apporté aux jeux, à leur évolution, à l’immersion du joueur, aux défis rencontrés, etc. Si je devais mettre des notes sur 20, là tout de suite, je dirais 18.5 pour DAO, 15 pour DA2, et 17 pour DAI. Personnellement, j’attends une suite avec plaisir. Si vous êtes fan de RPG et/ou d’univers médiéval fantastique, des choix qui ont un impact, et d’aventures, cette saga est probablement faite pour vous ! ^^
Pour en savoir plus et trouver des soluces ou astuces, je vous recommande le site en français « Dragon Age Univers« , mais le mieux si vous souhaitez vous faire une idée, c’est d’essayer 😉
Voilà voilà. Bonne journée, et à bientôt =)
Oui j’ai aussi fait les mass effect, j’ai adoré. Après je suis déçue par la fin du 3… vraiment pas à la hauteur de l’intrigue je trouve!
Dans un autre style j’ai aussi adoré les Portal! Fan de Glados forever 😉
C’est bien tu as très bon goût :p
Pour Mass Effect… La fin en elle-même est « logique » je trouve, mais effectivement, la façon dont elle est amenée, la gestion des dernières minutes de jeu est un chouilla décevante, mais ça reste juste la meilleure trilogie de tous les temps. Je l’aime d’Amour xD
Portal ! Complètement différent, mais tellement drôle ! Je me refais le 2 de temps en temps pour le pur plaisir d’écouter GladOs ! Je suis très fan aussi xD
Un des seuls jeux que j’ai finis dans ma vie! et ils se comptent sur les doigts d’une main!!!!
J’ai fait dragon age 1, 2 et 3. Dans le 2 la romance avec Iron Bull, j’ai adoré!
Des bisous
Nath
Tu m’étonnes ^^ Avec Mass Effect, en terme de scénario, qualité de jeu, temps de jeu, etc… C’est juste énormissime finalement ! Tu les as fait aussi les ME ?? Franchement meilleure trilogie de tous les temps à ce jour ^^
Iron de DAI ? Il est particulier mais j’ai ri ! xD Mais faut sauver la charge ! :p
Bisous !